Nos animaux

Parmi les espèces rares et menacées de la planète, ils sont installés dans un cadre de nature et accessible à tous.

Photo de la tête d'un tigre blanc qui émerge de son bassin.

Nos grands mammifères carnivores​

Nos petits mammifères carnivores

2 chèvres en plein air

Nos autres mammifères

Portrait d' un caracara des montagnes. Son plamage est noir et la base de son bec est jaune-orange. Son bec est gris bleuté.

Nos oiseaux prédateurs diurnes

Photo de la tête d'un hibou grand duc d'Afrique.

Nos oiseaux prédateurs nocturnes

Paon en présentation avec sa queue grande ouverte montrant ainsi ses tons de vert et de bleu.

Nos autres oiseaux

Nos grands mammifères carnivores

  • Lion

    Panthera leo

    On ne présente plus le Lion, roi de la savane africaine. A l’âge adulte, le lion peut peser jusqu’à 250 kilos. Sa principale activité est de … se reposer (de 18 à 20h par jour). Le reste du temps il le consacre à défendre son territoire, se nourrir et se reproduire, une vraie vie de Pacha.

  • Tigre blanc

    Panthera tigris

    Non la couleur de son pelage et ses yeux bleus ne sont pas entièrement naturels, et si les 1ers tigres blancs auraient été observés déjà au 16° sc, il s’agit en réalité d’un tigre du Bengale possédant une anomalie génétique appelée leucistisme.
    C’est une particularité génétique due à un gène récessif, qui donne une couleur blanche au pelage.
    La majorité des tigres blancs captifs sont les descendants de Mohan, un tigre du Bengale sauvage capturé dans les années 1950 et recueilli par le maharadjah de Rewa.

  • Jaguar

    Panthera onca

    Le nom « jaguar » vient du mot indien « yaguara », qui signifie « la bête sauvage qui tue sa proie d’un bond ». Puissant et secret, le jaguar (Panthera onca) est le seul félin du Nouveau Monde. Cet animal vit principalement en Amérique du Sud.

    Si le continent américain est très riche en petits félins du genre Felis comme le puma ou l’ocelot, par contre, le jaguar est le seul membre des grands félins qui habite ce continent. Le jaguar vit en solitaire dans la forêt tropicale. Il ne grimpe dans les arbres que pour se reposer ou déguster une petite proie. Sa puissance lui permet de s’attaquer à des proies trois à quatre fois plus grosses que lui.

  • Panthère noire

    panthera pardus

    La panthère, ou léopard, est un grand félin originaire d’Afrique ou d’Asie. Les individus noirs sont atteints de mélanisme (trop de pigments sombres dans la fourrure). Excellente grimpeuse, elle hisse ses proies en haut des arbres pour les protéger des charognards.

  • Guépard

    Acinonyx jubatus

    Taillé pour la course, le guépard a une allure svelte et fine, avec de longues pattes élancées aux griffes non rétractiles, et une face au museau court marquée par deux traces noires partant des yeux.
    Ce grand félin se rencontre en Afrique et dans quelques rares régions du Moyen-Orient.

    Il est considéré comme l’animal terrestre le plus rapide au monde, sa vitesse à la course pouvant atteindre 115 km/h. Un sprint l’amène à 70 km/h en deux secondes puis 90 km/h une seconde plus tard !

  • Puma

    Puma concolor

    C’est l’un des plus gros prédateurs carnivores du continent américain. Il est également appelé couguar ou lion des montagnes. Baptisé le « lion » des Amériques, le puma règne sur les monts neigeux du Canada jusqu’aux rives de la Terre de feu. Il tient son nom d’un mot quechua, peuple des Andes qui vivait au Pérou à l’époque des Incas.
    Le puma est le plus gros chat du monde. Il mesure de 70 cm à 1,50 mètres pour un poids variant de 36 à 105 kg. Il est capable d’effectuer des bonds prodigieux à plusieurs mètres de hauteur. A cet effet, ces membres postérieurs sont nettement plus longs que ses membres antérieurs. On a mesuré un saut de 12 m grâce à des traces dans la neige. Sans élan il peut effectuer un bond de 4 m.

  • Loup arctique

    Canis lupus arctos

    Comme l’indique son nom il vit dans la région arctique (Nord de l’hémisphère). Les Inuits le surnomme amaruk ou amorok.
    Il vit dans des conditions extrèmes où lété très court et les températures maximales atteignent 10°. En automne et en hiver il se déplace seul ou en petit groupes d’individus.

    Ses proies sont variées allant de petits mammifères lemmings, lièvres arctiques ou aussi des oiseaux. Il chasse en meute pour des proies plus importantes tel que caribou et boeuf musqué.

    La femelle met bas jusqu’à 5 petits après une gestation de neuf semaines. Elle creuse elle-même sa tannière. Les louvetaux sont les premières victimes des conditions extrèmes.

  • Loup de Mackenzie

    Canis lupus mackenzii

    Le loup de Mackenzie est une sous-espèce du loup canadien, qui se rencontre dans les régions baignées par le fleuve Mackenzie (Nord du Canada).
    Suivant les populations, ils peuvent être noirs ou presque blancs, en passant par tout les intermédiaires de gris.
    C’est un animal » haut sur pattes » ( environ 80 cm au garrot), avec des pattes parfaitement adaptées au déplacement sur la neige. Il s’agit d’ailleurs de la plus grande sous-espèce de loup au Monde.
    Notre groupe est visible sur le parc des Lodges.

  • Hyène tachetée

    Crocuta crocuta

    Plus imposante que sa cousine la hyène rayée, elle peut peser jusqu’à 80 kilos. Longtemps considérée comme un charognard peureux, on sait aujourd’hui que c’est un prédateur puissant et téméraire, capable de poursuivre sa proie à 60 km/h sur plus de 3 kms. Car contrairement à ce que l’on pense la hyène ne se nourrit pas que de cadavres, mais sait très bien chasser.

  • Coyote

    Canis latrans

    Le coyote, originaire d’Amérique du Nord, est une espèce de canidés du genre Canis qui se distingue par sa taille plus petite par rapport à son parent proche, le loup gris.

    Très peu vu en zoo, nous sommes 4 parcs animaliers à les présenter en France.

Nos petits mammifères carnivores

  • Margay

    Leopardus wiedii

    C’est un petit félin se rencontrant dans les forêts tropicales et les milieux broussailleux d’Amérique centrale et du Sud. Le margay pèse de 2 à 4 kg en moyenne.
    L’une de ses caractéristiques physiques particulières réside dans son extrême souplesse, liée intrinsèquement à son comportement arboricole. Par exemple, ses pattes postérieures peuvent pivoter jusqu’à près de 180°, lui permettant de descendre d’un arbre ou d’une branche la tête la première sans bondir.
    Secret et fuyant, le margay passe une grande partie de son temps dans les arbres, où il se nourrit d’oiseaux et de lézards. Il attend la nuit pour entreprendre ses expéditions au sol, où il chasse les rongeurs, (comme le rat, la souris ou les écureuils), les jeunes cervidés, les paresseux et les volailles.
  • Chat des Marais

    Felis chaus

    Il occupe une vaste aire de distribution, depuis l’Egypte jusqu’en Chine occidentale, en passant par le moyen orient, la péninsule Indienne et une grande partie du sud est asiatique.

    Il mesure entre 60 et 75 cm de longueur, et peut atteindre 25 cm de hauteur au garrot, pour un poids de 7 à 15 kilos suivant les individus.

  • Chat léopard du Bengale

    Prionailurus bengalensis

    C’est un petit chat sauvage appartenant à la famille des félins dans le genre Prionailurus. Le nom de ce mammifère, originaire du sud et de l’est de l’Asie, lui vient des taches présentes sur son pelage similaires à celles du léopard, bien que sa relation avec ce dernier soit très éloignée.
    Il vit dans les forêts tropicales et tempérées, les forêts de conifères, les terres d’arbustes et les prairies.
    Il semble relativement insensible aux perturbations humaines on l’observe souvent près des champs agricoles et les agglomérations rurales. Ce félin est un nageur exceptionnel, ce qui pourrait expliquer sa répartition sur les îles.

  • Chat pêcheur ou chat viverrin

    Prionailurus viverrinus

    C’est une espèce de félin qui se rencontre généralement à Sumatra, à Java, en Chine méridionale et en Inde.

    Il fait environ 40 cm de hauteur au garrot, il pèse entre 5 et 10 kg , il peut atteindre 85 cm de longueur et possède une queue de 30 cm de long. Ce chat aux pattes courtes, à la tête plate et aux oreilles minuscules, ne vit qu’à proximité de l’eau. On le suppose capable de pêcher facilement des poissons, grâce à ses pattes légèrement palmées. Il est capable de plonger à la poursuite des poissons, il se nourrit également de petits mammifères, d’oiseaux, de crustacés…

  • Jaguarondi

    Puma yagouaroundi

    C’est un félin appelé aussi chat hermine car son pelage uni et sa forme étirée rappellent plutôt l’hermine qu’un félidé.

    Il pèse entre 5 et 10 kilos, et est doté d’une très longue queue ( presque aussi longue que son corps, 60 cm). On le trouve au sud du Brésil, nord de l’Argentine, Arizona et Texas. C’est un des rares félins qui possède une robe sans tâche. C’est ce pelage gris un peu terne qui lui a permis d’être épargné par les braconniers. Certains individus présentent une teinte plus rousse (comme notre femelle).

  • Caracal

    Caracal caracal

    Chat ou lynx ? Le caracal, avec son corps svelte et sa robe fauve, rappelle le premier, mais il porte aux oreilles le pinceau de poils du second. C’est à cause de cette ressemblance mais aussi de son habitat parfois semi-désertique que le caracal est également appelé en Inde et en Iran lynx du désert ou lynx de Perse. Ce petit félin vit en Afrique, dans la péninsule Arabique et au sud-ouest de l’Asie. Son nom « caracal » vient du turc « kara kulak » c’est-à-dire « oreille noire ».

  • Lynx du canada

    Lynx canadensis

    Le lynx du Canada est plus petit que son cousin européen.

    Originaire des contrées glacées d’Alaska et du grand nord canadien, il a développé des pattes très larges et très adaptées aux sauts. Elles lui permettent aussi de ne pas s’enfoncer dans la neige.

    C’est un chasseur redoutable capable de tuer un cervidé plus gros que lui.

  • Chat de Geoffroy

    Leopardus geoffroyi

    Originaire d’Amérique du Sud, le chat de Geoffroy est un petit félin menacé d’extinction.
    Doté d’une magnifique fourrure tachetée, il est victime du braconnage massif et illégal.
    L’espèce est très peu commune en captivité.

  • Chat rubigineux

    Prionailurus rubiginosus

    Il s’agit de l’un des plus petits félins du Monde. Originaire d’Asie il est extrêmement menacé.

    On l’appelle également Chat rougeâtre.

  • Ocelot

    Leopardus pardalis

    C’est un petit félin nocturne que l’on peut trouver dans le Texas méridional, au Mexique et en Amérique centrale et du Sud, jusqu’en Argentine.
    Il se nourrit de souris, de rats, de cobayes, de singes, de lièvres et même de petits chevreuils. À l’occasion, il prendra une poule ou un poulet. Il mesure de 65 à 100 cm, (sans la queue) pour un poids de 10 à 15 kilos. Il excelle à la chasse et, comme plusieurs félins, il ne craint pas l’eau et est bon nageur.

  • Serval

    Leptailurus serval

    On le trouve essentiellement au sud du Sahara jusqu’à l’Afrique du Sud. Vivant dans les steppes, les zones buissonneuses et les savanes humides, le serval est essentiellement nocturne. Il explore les terriers où se cachent les rongeurs, chasse d’autres mammifères (antilopes, lièvres, etc.) et des oiseaux. D’une longueur de corps de 0,70 à 1m, il pèse de 8 à 18 kilos suivant les individus.

  • Suricate

    Suricata suricatta

    Le suricate est un petit mammifère africain de la famille des mangoustes. Il vit en groupe composé de plusieurs couples et leurs jeunes. Une sentinelle monte la garde en position « assise » pour scruter le ciel. Si un rapace ou un autre prédateur s’approche, la sentinelle alerte l’ensemble du groupe qui partira se réfugier dans un terrier.

    Il se nourrit essentiellement d’insectes et reptiles, ainsi que de fruits et baies.

  • Mangouste jaune

    Cynistis penicillata

    Appelée mangouste fauve, on la trouve dans les zones semi-désertiques ou de savane en Angola, Botswana, Afrique du Sud, Namibie et au Zimbabwe.
    Elle vit en colonies de 8 à 20 individus formés d’un couple reproducteur et de leur progéniture. Elles sont principalement nocturnes mais on peut parfois les voir chasser en pleine journée. Elles se protègent de la chaleur dans les terriers des suricates ou des écureuils fouisseurs avec lesquels elles s’entendent Elles se sont particulièrement bien adaptées aux cultures (mais, blé) où pullulent leurs proies favorites : les rongeurs. Pour cette raison, elles sont bien appréciées des fermiers locaux.

  • Le chien des buissons

    Speothos venaticus

    Le chien des buissons est un petit canidé, originaire d’Amérique du Sud.

    L’espèce fut décrite pour la première fois en 1842, avant cette date on ignorait son existence.

    C’est un animal semi aquatique qui nage avec une grande facilité.

    Il se nourrit de rongeurs, d’œufs et d’insectes.

  • Chat forestier

    Felis silvestris silvestris

    C’est le seul chat sauvage qui vit sur le territoire français. Il s’agit de l’une des deux espèces de félidés sauvages autochtones de France métropolitaine avec le lynx boréal. Bien moins imposant que ce dernier, ce chat à la silhouette trapue, au pelage fauve et gris, strié de rayures noires, affiche un poids moyen de 5 kg pour les mâles et 3,5 kg pour les femelles. Si ses mœurs discrètes rendent sa présence souvent insoupçonnée, ce petit prédateur prospère en France. Cette espèce est peu connue en parc zoologique.

  • Chat sauvage de Gordoni

    Felis silvestris gordoni

    Le Chat sauvage de Gordoni est une sous-espèce de chats sauvages originaire de la péninsule Arabique, principalement dans les déserts de Nubie, du Sahara et d’Arabie. Il évolue dans les zones montagneuses ou les rivières asséchées. Son pelage est de couleur rousse à sable ou de brun-fauve à gris. Il est marqué de légères rayures plus foncées. Sa queue se termine par trois anneaux noirs avec une pointe entièrement noire.
    Ce félin peu commun est présent dans 2 parcs en France, et moins de 10 en Europe.
  • Chat-léopard de Sibérie

    Prionailurus bengalensis euptilurus

    Cette sous-espèce du chat léopard d’Asie est la plus nordique de toutes. Elle ne vit qu’entre le nord de la Chine et le sud-est de la Russie, près du fleuve Amour. Ce chat léopard présente une fourrure plus imposante en hiver, et de couleur grisâtre, beaucoup moins marquée que chez les sous-espèces tropicales (chat-léopard du Bengale ou de Bornéo). Dans son milieu naturel, cette fourrure est une isolation thermique idéale pour lutter contre les variations de température vacillant entre 38° en plein été, et -50° les hivers les plus rudes !
    Cette sous-espèce n’est visible que dans 3 parcs zoologiques français.

Nos autres mammifères

  • Les Animaux de la Mini-Ferme

    L’espace mini-ferme regroupe plusieurs petits animaux de la ferme : un groupe de moutons d’Ouessant (le plus petit mouton du Monde originaire de l’île bretonne du même nom), des poules, des chèvres !

    Ce petit monde n’attend plus que vos caresses et quelques friandises à réclamer !

  • Chèvres

  • Mouton d’ouessant

Nos oiseaux prédateurs diurnes

  • Buse Aguia

    Geranoaetus melanoleucus

    Ce rapace a toutes les caractéristiques d’un aigle, il s’agit, cependant, d’une des plus corpulente et grande buse actuelle ( 85 cm, près d’un m 80 d’envergure ).Son magnifique plumage est gris bleuté, unique chez les rapaces, c’est ce qui lui a valu le surnom de « buse bleue du Chili ». On retrouve ce rapace dans la moitié sud de l’Amérique du Sud, entre la cordillère des Andes, l’Argentine, le Chili, le Pérou et la Bolivie.

    Habituée des hautes montagnes, il vit entre 1600 et 3500 m d’altitude !

  • Caracara montagnard

    Phalcoboenus megalopterus

    Cette espèce est présente en Amérique du Sud, sur la côte ouest du continent (Cordillère des Andes, Argentine).

    Les parties supérieures sont noires, alors qu’il arbore un plumage blanc sur le ventre et sous les ailes.
    Le masque facial est très reconnaissable, de couleur rouge-orangé.

    C’est un oiseau opportuniste qui se nourrit surtout de charognes, mais qui peut chasser toutes sortes de petits animaux (rongeurs, oiseaux, reptiles et insectes).

  • Buse tricolore

    Geranoaetus polyosoma

    Cette petite buse sud-américaine possède une grande variation de couleurs dans son plumage. Les oiseaux dont le dos est roux sont, en général, des femelles. Les mâles sont plus gris. Il existe au moins 27 plumages adultes différents pour cette seule espèce.

  • Buse de Harris

    Parabuteo unicinctus

    Rapace très connu pour ses chasses en groupe, la buse de Harris est une buse assez grande avec de larges ailes, de longues pattes et une longue queue.
    La buse de Harris se retrouve depuis le nord de la Colombie et du Vénézuela jusqu’au Chili et en Argentine.
    Elle est un chasseur émérite, qui capture toutes sortes d’oiseaux de taille petite à moyenne, y compris des canards, ainsi que de petits rongeurs, et d’autres mammifères pouvant atteindre la taille d’un lapin adulte, et des lézards.

    Elle chasse en planant à faible altitude, ou d’un perchoir, duquel elle pique soudainement sur ses proies. Elle se pose parfois pour chasser au sol des insectes ou des lézards peu rapides. Cette espèce chasse parfois en groupe, de manière très organisée.

  • Urubu à tête jaune

    Cathartes burrovianus

    Aussi appelé vautour à tête jaune.
    C’est un proche parent du vautour aura. Il possède une apparence et une couleur de plumage très similaire, mais on peut le différencier à la couleur jaune vive de sa tête, également ornée d’une petite bande noire partant de l’œil et soulignant la tempe. Ce vautour se rencontre dans une grande partie de l’Amérique du sud.
    C’est un charognard. Ses habitudes alimentaires sont assez semblables à celle de l’Urubu à tête rouge, même s’il s’agit d’un visiteur moins assidu des grosses carcasses. Comme d’autres vautours, il se nourrit plutôt de poissons qui se sont échoués hors du lit des rivières.

  • Urubu à tête rouge

    Cathartes aura

    Aussi appelé vautour aura.
    Il possède la plus vaste aire de répartition des vautours du Nouveau Monde ( du sud du Canada jusqu’au sud de l’Amérique du Sud). Il se rencontre dans une grande variété d’habitats ouverts et semi-ouverts dont les forêts subtropicales, les terrains buissonneux, les prairies et les déserts.
    Il possède une envergure moyenne de 1,80 mètre pour un poids moyen de 1,4 kilogramme. C’est un nécrophage qui se nourrit presque exclusivement de charognes. Son sens de l’odorat est bien développé et il trouve sa nourriture en volant au ras des arbres, détectant les gaz produits par la décomposition des carcasses.

  • Pie bleue de l’Himalaya ou Pirolle à bec rouge

    Urocissa erythrorynchan

    Elle a à peu près la même taille que la pie européenne, mais a une queue beaucoup plus longue.
    Elle vit en larges bandes dans l’Himalaya occidental, dans l’est de la Chine et du Vietnam. Elle habite les forêts et broussailles principalement dans des collines ou les zones de montagne.
    Elle reste aussi bien dans les arbres que sur le sol et consomme une grande variété de produits alimentaires, tels que invertébrés, autres petits animaux; fruits et graines. Elle détruit les œufs et les poussins.

  • Martin chasseur géant

    Dacelo novaeguineae

    Appelé aussi Kookaburra, c’est un oiseau trapu (45 cm) habitant l’Australie. Comme tous les martin-chasseurs, il se nourrit en attendant patiemment installé sur une branche qu’une proie passe à proximité pour se précipiter dessus. A son menu : souris et autres petits mammifères, gros insectes, lézards, petits oiseaux et oisillons, et, surtout serpents.
    Les proies les plus petites sont avalées vivantes, les proies plus grosses sont d’abord tuées en les frappant vivement sur le sol.

  • Caracara à tête jaune

    Milvago chimachima

    Petit rapace apparenté aux faucons, le caracara à tête jaune vit en Amérique du Sud. Ce chasseur privilégie des proies de petites tailles, en particulier des insectes et des reptiles, mais se nourrit aussi de charognes. Il est souvent vu posé sur le dos du bétail ou d’autre animaux dont il enlève les tiques. Unique en France !

  • Secrétaire

    Sagittarius serpentarius

    Ce grand rapace atypique aux longues pattes est souvent nommé messager sagittaire, ou de façon plus ambiguë “Serpentaire”. Ce dernier nom lui vient de sa grande consommation de serpents, qu’il attrape en les assommant à coups de pattes. Ce rapace reconnaissable à sa huppe arpente la savane africaine à la recherche de nourriture, pouvant parfois effectuer 35 km par jour. Ses proies sont variées : serpents, lézards, insectes, rongeurs, exclusivement capturées au sol. Cet oiseau est aujourd’hui considéré comme “en danger” dans son milieu naturel.

Nos oiseaux prédateurs nocturnes

  • Chouette à Lunettes

    Pulsatrix perspicillata

    La chouette à lunettes doit son nom au grand X blanchâtre qu’elle arbore sur son disque facial.
    Son aire de répartition va du Mexique jusqu’au nord de l’Argentine, au Paraguay et au sud du Brésil.
    Elle se nourrit de divers petits mammifères (dont des rongeurs et des chauves-souris), oiseaux, grenouilles arboricoles, lézards, crabes terrestres et gros insectes.

  • Chouette boubouk

    Ninox novaesselandiae

    La chouette boubouk est un rapace nocturne de taille moyenne, arborant un plumage brun clair ou roux, strié de blanc sur la poitrine et le ventre.
    Elle vit dans les forêts de la Nouvelle-Zélande, sur l’île Nord et les quelques îles avoisinantes.
    Comme la plupart des chouettes, elle attend la pénombre pour chasser, surtout des insectes, des lézards et des petits rongeurs.
    Le reste de la journée, elle se dissimule immobile dans le feuillage épais.

  • Chouette Leptogramme

    Strix leptogrammica

    C’est une chouette d’asie du Sud-est, que l’on trouve au sud de la chaîne himalayenne et jusqu’à la Malaisie
    et l’Indonésie, en passant par le Sri Lanka, la Thaïlande, la Birmanie.
    Vivant dans les régions tropicales denses, les chouettes leptogrammes sont très discrètes et rarement aperçues.

  • Chouette Chevêche

    Athene noctua

    C’est une des plus petites chouettes que l’on peut observer en France ( 23 cm pour 180 à 200 gr).
    Très discrète, il est difficile de l’apercevoir la journée. Elle chasse la nuit pour se nourrir d’insectes, vers de terre, petits mammifères, reptiles, petits batraciens, et même des petits oiseaux.

  • Chouette de l’Oural

    Strix uralensis

    La chouette de l’Oural est un des plus grands rapaces nocturnes de son genre avec la chouette lapone. Elle vit dans l’extrême nord de l’Europe, jusqu’en Sibérie. On la trouve surtout dans les forêts et prairies boisées.
    Elle se nourrit essentiellement de petits mammifères, campagnols, musaraignes mais aussi de grenouilles et gros insectes. Autre complément non négligeable, les oiseaux : pigeons, merles, grives, tétras lyre…

  • Chouette masquée

    Strix rufipes

    Cette petite chouette a une taille de 33 à 38 cm de long et pèse environ 300-400 grammes. Son aire de répartition s’étend du centre du Chili et à l’ouest l’Argentine à la Tierra del Fuego et elle est parfois repérée sur les îles Falkland . Elle vit dans les milieux denses et humides, forêts de montagne ou de plaine semi-ouverte où elle peut attraper petits mammifères, oiseaux et les insectes.

  • Harfang des neiges

    Bubo scandiacus

    Ce grand rapace nocturne, blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable. Les mâles sont d’un blanc pur alors que les femelles et les jeunes sont légèrement tachés ou barrés de brun. Il vit essentiellement dans la toundra arctique.

    Il est aussi appelé ookpik par les Inuits. Il est l’emblème aviaire du Québec. En Europe, on l’appellait Chouette Harfang, mais en Amérique du Nord on le considère comme un hibou, car il possède des petites plumes sur sa tête, appelées aigrettes. Elle ne sont pas visibles car elles sont très petites et repliées sur sa tête.

    Le harfang se reproduit vers février-mars. La femelle pond entre 3 et 14 œufs, à raison d’un œuf environ tous les deux jours, mais la moyenne est plutôt entre 5 et 9 œufs par couvée. La couvaison commence immédiatement, si bien que dans le nid peuvent se trouver des oisillons d’un âge et d’une taille très différents.

  • Hibou Strié

    Asio clamator

    Hibou de taille moyenne originaire d’Amérique du Sud (depuis le sud du Mexique jusqu’au
    Panama, et dans le nord de l’Amérique du Sud : Uruguay, Equateur). Son plumage chamoisé est marqué de nombreuses stries noires. Il a la particularité de souvent installer son nid au sol dans les broussailles. Unique en France !

  • Hibou petit-duc Scops

    Otus scops

    C’est le seul de nos rapaces nocturnes à quitter la France métropolitaine en hiver. Dès le mois d’août il part pour l’Afrique équatoriale. Il revient chez nous en avril.
    Mesurant 19 cm pour un poids maximum de 95 grammes ( pour la femelle), il est très discret et difficilement observable en journée car il sait se cacher et se confondre en restant immobile, dans un tronc d’arbre, les feuillages, ou sur une branche.

  • Hibou petit-duc à face blanche

    Otus leucotis

    C’est un petit rapace nocturne africain d’environ 200 grammes. L’adulte a une face blanche caractéristique avec des aigrettes grises et de grands yeux oranges. En cas d’alerte, il se fige dans une posture dressée, plumes étirées vers le bas et aigrettes dressées, se confondant ainsi avec une branche cassée. On le trouve presque dans toute l’Afrique au sud du sahara. Il vit dans les savanes et les buissons épineux, ainsi qu’en forêt ouverte. Il chasse de nuit de gros insectes et des araignées, mais également de petits rongeurs et des oisillons au repos.

  • Hibou Petit Duc de Californie

    Otus kennicottii

    Appelé aussi petit duc des montagnes. Ils sont endémiques d’Amérique du Nord. Nocturnes, ils ne sont pas particulièrement timides. Leur activité commence habituellement 20 ou 30 mn après le coucher du soleil, le mâle quitte alors sa cachette diurne située dans un tronc ou dans un feuillage épais puis il fait le tour des nombreux perchoirs de sa propriété à partir desquels il se met à chanter ou à chasser. S’il est dérangé pendant qu’il est perché, il se tient raide et immobile comme si on l’avait hypnotisé et on peut parfois le prendre dans la main. Unique en France !

  • Hibou petit-duc à Collier

    Otus bakkamoena

    Ce petit hibou mesurant entre 23 et 25 cm, se trouve en Asie du Sud Est, où il est très commun. Il niche dans un trou d’arbre. Cette espèce nocturne, est très difficile à observer de plein jour, car son plumage lui offre un camouflage naturel. Il se nourrit principalement d’insectes. Unique en France !

  • Hibou grand-duc africain

    Bubo africanus

    Comme leur nom l’indique bien, ces grands-ducs occupent le continent africain au sud du Sahara.
    Les grands-ducs africains consomment des gros insectes comme les coléoptères et d’autres arthropodes comme les termites, les araignées et les scorpions. Ils ingurgitent aussi des petits mammifères (musaraignes, rongeurs, écureuils terrestres, hérissons et jeunes lièvres) ainsi que des oiseaux qui vont jusqu’à la taille des sternes ou des faucons. Ils mangent aussi des reptiles qui constituent des proies très appréciées.

  • Hibou grand duc d’Europe

    Bubo bubo

    Avec ses 75 cm de haut, le Grand-duc est le plus grand des rapaces nocturnes d’Europe : il mesure le double de son congénère le moyen-duc. Excellent prédateur, sa nourriture est plus variées. Il se nourrit de tout ce qui bouge, depuis les scarabées jusqu’aux faons des cervidés en passant par les rongeurs, les lapins et les oiseaux. Il est malheureusement menacé en Europe et en Asie car il est très sensible à la présence de l’Homme sur son territoire.

  • Hibou Moyen-duc

    Asio otus

    Ce hibou fréquente les zones forestières d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord. Discret la journée, il chasse la nuit des rongeurs et des insectes. En France, il bénéficie d’une protection totale.

  • Hibou Grand duc de Verreaux

    Bubo lacteus

    Le grand duc de Verreaux est le plus grand rapace nocturne d’Afrique Il est facilement reconnaissable à son plumage gris clair, son cercle facial noir légèrement bordé de blanc, mais la marque distinctive de ce hibou est la couleur rose des paupières. Fait étonnant, ce hibou utilise souvent les anciens nids de vautours ou d’aigles en plus des trous d’arbres creux.

  • Chouette épervière

    Surnia ulula

    La chouette épervière est originaire des zones nordiques de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique. Elle n’hésite donc pas à braver les rigueurs du climat, même en cas de tempête de neige.
    Bien qu’étant considérée comme un rapace nocturne, elle est très active aussi durant la journée, n’hésitant pas à chasser en plein jour. Sa poitrine et son ventre sont abondamment rayés de bandes brunes, des motifs rappelant ceux des éperviers, d’où son nom. On l’appelle parfois chouette boréale.

  • Chouette mouchetée

    Strix virgata

    Cette chouette très méconnue vit uniquement en Amérique du Sud. On la rencontre dans les forêts et savanes du Mexique, jusqu’au Brésil et en Argentine. Ses ailes et son dos très sombres dénotent avec son ventre plus clair, de couleur blanc-crème ou jaune, et largement moucheté de noir.
    Le Domaine des Fauves est le seul parc en France à présenter cette espèce, et l’un des rares en Europe.

  • Chouette effraie

    Tyto alba

    Parfois appelée Dame blanche, cette chouette est répandue à travers le Monde entier. En France, elle côtoie l’Homme de près, nichant souvent dans de vieilles bâtisses désaffectées (granges, clochers). Discrète et silencieuse, elle est pourtant menacée par de nombreux fléaux : la destruction des vieilles granges, le trafic routier qui s’intensifie la nuit ou encore les pesticides contaminant les rongeurs, ses proies favorites.

    En France, l’effraie des clochers a été protégée dès 1902 en tant qu’oiseau utile à l’agriculture du fait de sa destruction active de rongeurs.

  • Chouette à collier

    Pulsatrix melanota

    La chouette à Collier est peu connue, car son habitat naturel se réduit à quelques forêts de moyenne montagne, sur le versant oriental de la Cordillère des Andes (Colombie, Bolivie, Équateur).
    Lorsqu’elles sont adultes, le disque facial brun foncé est orné de “sourcils” blancs sur les yeux, et d’un collier de même couleur, lui donnant son nom français.
    Son nom officiel anglais fait néanmoins référence à une autre particularité de son plumage, les rayures rousses ou brunes très marquées sur son ventre.
    Le Domaine des Fauves est l’un des 5 parcs en Europe à présenter l’espèce au public.

Nos autres oiseaux

  • Cigogne blanche

    Ciconia ciconia

    Tout le monde connaît la cigogne avec son plumage principalement blanc, avec du noir sur les ailes. Les adultes ont de longues pattes rouges et un bec rouge long et droit, ils mesurent en moyenne 100 à 115 cm du bout du bec au bout de la queue.

    La cigogne blanche a un régime carnivore et elle consomme un large éventail de proies animales : insectes, poissons, amphibiens, reptiles et petits rongeurs. Elle trouve la plupart de sa nourriture au sol, parmi la végétation basse, et également dans l’eau peu profonde.

  • Paon bleu

    Pavo cristatus

    Originaire d’Asie (plus principalement d’Inde et du Sri Lanka), il est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu’il peut déployer en roue. Il aurait été rapporté d’Asie vers la Grèce au IVe siècle avant notre ère par Alexandre le Grand et s’est vite répandu dans toute l’Europe tant sa beauté suscitait l’admiration.
    Il existe trois variétés de paon bleu : La plus répandue, proche du type sauvage est le paon bleu, le mâle possède une tête et un cou bleu brillant, des ailes brunes et de belles plumes à ocelles bleues et vertes dans sa traîne tandis que le corps entier de la femelle est gris, avec une tête blanchâtre.
    Des deux variétés autres que le type sauvage, la plus couramment rencontrée est le paon blanc. Ses plumes sont blanches sur le corps entier. Contrairement à l’idée très répandue, il n’est pas albinos, mais leucistique). La superbe traîne blanche du mâle rappelle la traîne d’une robe de mariée. Le paon blanc est issu d’une mutation récessive du paon bleu. La troisième variété, peu courante, est le paon nigripenne (mutation nigripennis).

Tortues

  • Tortue de Floride

    Trachemys scripta elegans

    Vendue en animalerie à la taille d’une pièce de 2€, la tortue de Floride devient très imposante à l’âge adulte. De ce fait, de nombreux particuliers l’abandonne dans la nature, où elle s’adapte facilement. L’espèce est invasive en France et menace la faune aquatique locale, et notamment la Cistude.